Quelques pensées

Nous vivons dans un monde où il y a tout ce qu'il faut pour vivre presque sans travailler.

Malheureusement, la façon dont nous sommes organisés laisse le pouvoir réel aux mains d'une coalition de bureaucrates et de multinationales qui ne que faire de notre sort.

Les gens que je rencontrent personnellement ont pour moi et mes idées beaucoup de considération. (Des africains catho ou musulmans, des pakistanais, des arabophones, un canadien) Notez bien ici, sur un forum catholique-ou pas mal de membres ont l'air de posséder des connaissances étendues- ça va encore, l'administrateur, passé le moment de surprise est devenu chouette avec moi. Mais ailleurs... Enfin les motifs ne manquent pas, probablement dû à mon franc-parler ou à des méprises parfois cocasses.

Ce en quoi je dérange beaucoup de gens est ceci: Chaque camp religieux reste coincé dans sa maison. Très peu font un petit tour ailleurs, où ils sont généralement mal reçus, dès qu'ils commencent à montrer leurs désaccord sur certains points.

Et moi, je suis comme un chat de gouttière, je vais d'un maison -pardon- d'un camp religieux avec une aisance de chat. On me donne parfois une petite soucoupe de lait -pardon- de gentillesses, et puis après quelques temps on me fait comprendre que je deviens collant -pardon, aussi figé que les autres sur certains points-

Enfin, vouloir une unification des trois religions monothéistes, ou, du moins, un sorte de charte de bonne entente, ce n'est quand même pas un péché... Dire qu'on devrait reconstruire un temple à Jerusalem en laissant la mosquée Al-Aqsa comme un bijou à l'intérieur -ou au-dessus si les musulmans le veulent ainsi- ce n'est pas un péché non plus, tout de même? C'est de là que tout vient, et c'est là que tout pourrait recommencer. Vous allez me dire que ne pas reconnaitre la Sainte Trinité dans le sens où on le voit au sein de l'Eglise Catholique Romaine, c'est un péché aux yeux de cette Eglise, mais bon, moi je vois Dieu, Son Esprit, et les Prophètes comme un arrangement de trois tuyaux coulissants, et ce concept tridimensionnel ne dérangerait en aucune manière les musulmans.

Il faudrait tout de même se rendre compte que, du temps du Roi Louis XIV, les francais avaient des ambassadeurs avec les musulmans de l'actuel Maroc, et on préférait, de part et d'autre, vivre en bonne entente parce que c'est le bon sens. D'ou le rayonnement du Royaume de France de l'époque sur toutes les cours européennes, je suppose.

Le secret des trois couronnes superposéesL

Le secret des trois couronnes superposées

Que seuls les fourmis connaissent, le voici :

La première couronne est celle de la sainteté Echanger la souffrance contre la charité Une couronne que certains usurpent La deuxième couronne est pour les Empereurs Ceux dont les rois ont peur Il decide de qui vit et qui meurt En renonçant aux pratiques magiques Il se range du côté du Seigneur Dieu La troisième pour les gus, du genre de Salomon De ceux qui nous fracassent par leurs poèmes Les princes deviennent mendiants Et les mendiants des princes C'est le jour de la Secousse Un livre se déroule Sa radio est à la masse Les chats regardent le plafond Ils voient des choses invisibles Invisibles à nos yeux Qui montent et qui descendent Et qui les inquiètent un peu

Les gars accrochez-vous, Attention aux virages, ce gus arrache les pavés. Ceux qui l'emmerdent vont mourir mourir de rire, s'il n'accorde pas répit C'est à ce genre d'armes, Putain les frères Qu'on reconnaît la noblesse La noblesse du coeur.

Et si je vous fracasse les couilles, De toutes facons je préfère les nouilles, Toutes mes dents une a une, Sont en train de se faire la malle. Evitons le culte de la personnalité, Recyclons-les en cendriers. Musicien, poète, et médium est rare, Plus, n'arrive que tous les 3000 ou 5000 ans. Que ceux qui rient s'avancent, Les autres recevront des boites de pampers. Dans ma baraque hallucinante, On a toujours pitié, de ceux qui se repentissent. On ne comprend qu'avec du Vivaldi La musique que l'on joue devant les Rois Uniquement en l'honneur du Seigneur Dieu Un concert qui coute la peau des fesses C'est le jour du fracas, de la secousse, Ou vous serez comme des papillons eparpillés. Les princes deviennent des mendiants, Et les mendiants des princes.