Les décideurs de notre monde pensent trop en terme de "concurence commerciale",

alors qu'il faudrait plutôt penser en terme de "partenariat économique".

• Les dirigeants européens ne pensent qu'à vendre des méga-projets vite vendus et vite payés aux dirigeants africains.
• Les dirigeants africains ne pensent qu'à leur ventre, et à leur bas-ventre. Ils vendent l'électricité cher et vilain, mais n'entretiennent pas les réseaux électriques.

Résultat: Pratiquement tous les pays africains ont des réseaux électriques qui ne valent rien. Economiquement, c'est catastrophique.

Exemple: Le barrage INGA, en RDC. Ce barrage devait alimenter toute l'afrique centrale. Une seule des 4 turbines fonctionne tant bien que mal, et quelques kilomètres plus loin, il y a des coupures d'électricité 20 fois par jour !!! - Même topo en Guinée et dans d'autres pays africains.

Les africains moyens, leur petites et moyennes entreprises, voudraient utiliser l'énergie du soleil ou des vents pour être autonomes en électricité, mais les pays européens ne leur proposent rien, sinon des solutions trop chères.

Donner du travail aux européens et aux africains en construisant seulement de petites unités capables d'alimenter un village, une exploitation agricole, une entreprise quelconque, en énergie ( électricité ou air comprimé), grâce au soleil et aux vents.

Réserver l'usage des panneaux photovoltaïques (trop chers) à des usages complémentaires: pompes et ventilateurs pour circuit de refroidissement. (voir Projet 1 plus bas)

Les routes en Afrique centrale sont en trop mauvais état: Réintroduire en Afrique centrale l'usage des avions amphibies, capables de se poser sur les lacs, afin de faciliter les échanges commerciaux et redynamiser l'économie.

Enfin, il est faux de penser que les habitants des pays africains sont pauvres: Les orpailleurs et les entreprises de télécom africaines ont des moyens financiers conséquents.

Et il y a des clients potentiels non négligeables en Amérique du Sud et en Australie.

Leur travail: Faire des appels de fonds nationaux aux investisseurs afin de construire et vendre aux africains moyens des appareils leur permettant d'être autonomes en énergie, et cela, pour le moins cher possible.

Les banques locales africaines devront accorder les micro-crédits nécessaires, ce qui facilite les problèmes de recouvrement de créances.

Les dirigeants européens doivent unir leurs forces en ce sens, et ne pas se faire concurrence.